C’est tellement bon de te lire que je me frotte le derrière au sol comme faisait mon pinscher nain quand il était heureux (poulet rôti dans la gamelle, l’heure de la promenade, nouvelle peluche sur laquelle se branler…).
J’connais pas bien les chats, mais je suis tombée amoureuse de celui de ma cousine, j’lavais planqué dans ma valise pour rentrer avec (ouais, enlèvement, chui une ouf tavu), mais l’oedème pulmonaire résultant de ma sévère allergie aux chats m’a rappelé que, en fait, je peux pas.
Conclusion, tu resteras toujours l’unique chat dans mon foyer, celui donc je guette des nouvelles, anxieuse de savoir si il montrera à nouveau le bout de sa queue. Mon chat à moi, même si tu ne m’aimes pas. Comme tous les chats.
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